Le chant des grillons, qui ont niché dans les nombreuses jardinières de la terrasse, remplace le chant des oiseaux au crépuscule. La lune est toujours dans le ciel avant le coucher du soleil et prépare la nuit à la danse des étoiles, que l'on peut voir de nombreuses et peindre clairement quelques images, non seulement de mondes de rêve, mais aussi des images d'antan, d'Europe lointaine, ma vraie maison , Des souvenirs qui plongent dans l'orange et le rouge avec le coucher du soleil et s'estompent progressivement, m'accompagnant au sommeil, dans un sommeil profond et paisible dans ma maison en Afrique.
Des avis
Ici l'auteur vit son art photographique. Vous pouvez dire comment il s'imprègne de la maison, de la ville et de la campagne dans son appareil photo et les met aux pieds du lecteur. Vous obtenez un aperçu presque unique du monde du style de vie «sophistiqué» dans une terre de contrastes. Vaut le détour et la lecture. Séduit à voyager. E. Braun-Egidius
Elias Canetti s'est rendu pour la première fois à Marrakech en 1954. Une ville étrange, irréelle pour les Européens. Avec son livre "Voices in Marrakech", il a créé une étape importante dans les récits de voyage sur la ville de Marrakech au Maroc. Son livre a été publié en 1968. Il traite de la culture étrangère de cette ville orientale. Le marchandage, l'odeur de la nourriture, la vue des marchandises dans les ruelles de la vieille ville où se fait le commerce, appelé suk. Cette description des impressions n'est pas un livre de voyage au sens classique du terme avec des chiffres, des données et des faits, mais Canetti inspiré des descriptions de miniatures d'apparences atmosphériques d'une ville orientale. C'est probablement ce qui a fait le succès de ce livre.
Qu'est-ce que cela a à voir avec le livre actuel de l'auteur François Maher Presley? Beaucoup! Son livre rejoint la description pointue de la vie à Marrakech. L'atmosphère de la ville est merveilleusement décrite. La lumière, la chaleur, le fouillis des voix. L'atmosphère d'une grande ville arabe dans des murs centenaires. L'auteur réussit particulièrement à mettre en évidence la différence entre la vie animée dans les ruelles et le calme du riad, la maison privée. Ici, vous n'êtes qu'avec vous-même et vos pensées. Ces descriptions sont très obsédantes et donnent au lecteur un sentiment profond de la vie dans cette ville. Enrichis et c'est la grande différence avec Canetti, ce sont les nombreuses photos merveilleusement réussies, qui soutiennent de manière impressionnante les textes dans leur intensité. D. Eschrich